
Avec à sa décoration adaptée jusqu’au bout au thème de la pièce, nous sommes immédiatement immergés, en particulier grâce au fait de jouer véritablement dans un sous-sol. Mention spéciale pour l’odeur de la pièce, un peu boisée, agrémentée d’effluves de vin, qui nous fait nous sentir encore plus dans un Cachot de la taverne. L’histoire de la pièce n’est pas vraiment primordiale, l’évasion reste l’objectif numéro un du jeu. L’avancée dans le jeu permet néanmoins de deviner les raisons qui ont poussé nos ravisseurs à nous séquestrer, ce qui apporte un petit plus à ceux que l’histoire intéresse.
Concernant les énigmes, certaines sont vraiment intégrées à la décoration et obligent à utiliser de façon astucieuse des objets à notre disposition. D’autres sont plutôt orientées “énigmes papiers”, j’entends par là des énigmes que l’on pourrait aussi bien résoudre sur papier sans que la manipulation d’objets propres aux jeux d’escape games ne soit vraiment nécessaire. Ces mêmes énigmes sont aussi celles qui impliquent le plus de moments de réflexion en groupe, et nécessitent une vraie cohésion d’équipe.
Globalement, le niveau de difficulté du cachot est sensiblement au dessus de celui du Bureau de Pierre Rousseau, avec moins de fouille et davantage d’énigmes impliquant de la réflexion en équipe pour en venir à bout. C’est surtout un plaisir d’évoluer dans un décor immersif dès l’entrée dans la pièce, avec une grande variété de décorations au fur et à mesure du jeu.
L’avis du poulpe
|
![]() |
N’hésitez donc pas à suivre Escape Game Toulouse sur Facebook ou Twitter pour vous tenir régulièrement informés des dernières actualités. Et puisse l’esprit du Poulpe vous guider dans vos futures tentatives d’évasion!